Si en France, comme dans toutes les démocraties, la presse est libre de s'exprimer, ce n'est pas le cas dans tous les pays. Malheureusement, encore aujourd'hui, le métier de journaliste comporte des risques.
Les campagnes d’informations chocs de Reporters sans frontières ou d’Amnesty international prouvent bien qu’il est encore nécessaire de se battre pour la transparence et l’accès à l’information.
En 2017, 65 journalistes ont été tués, 326 étaient prisonniers, 54 pris en otage et 2 portés disparus selon les chiffres de Reporters sans frontières repris par Alexis Feertchak dans un article pour Le Figaro. Le journaliste reprend également la remarque de l’ONG sur l’apparente baisse des chiffres s’expliquant « par le fait que des pays devenus trop dangereux, se vident de leurs journalistes. » Le Mexique et la Syrie se révèlent comme les pays les plus dangereux au monde pour eux.