La mise en place d’un système d’information au sein d’une entreprise peut prendre de nombreuses formes, ce que nous nommons une architecture. Le choix de l’infrastructure répond aux questions de confidentialité, d’intégrité des données de l’entreprise et, bien sûr, des avantages techniques attendus. Le protocole « client – serveur » met en balance un processus effectuant une requête et un autre processus répondant. Un « middleware », lui, va créer un réseau d’échange des informations entre les applications informatiques sollicitées. Un « portail » est une entrée commune pour de nombreuses ressources et services avec l’utilisation des accès via internet. Un système de traitement transactionnel (STT) effectue les opérations nécessaires à maintenir les transactions quotidiennes.

De nombreuses autres architectures informatiques existent. Concernant l’intégrité des données et la confidentialité, la mise en place d’infrastructures à clés publiques (en anglais Public Key Infrastructure) permet d’y pallier. D’autres technologies apportent des solutions comme, par exemple, le certificat numérique, la signature électronique et la mise en œuvre du droit de l’information.