Parmi les rythmes biologiques, on distingue : 

  • les rythmes circadiens : sur 24 heures. Le cycle éveil-sommeil agit comme un synchroniseur sur l’horloge biologique interne. Au cours de ce rythme, les activités des organes varient : les hormones sont sécrétées de manière plus importante au cours de la nuit... la température corporelle varie... 

  • Le rythme saisonnier influencé par la température extérieure, la durée des journées et des nuits... 

  • Les rythmes alimentaires permettent de se construire un capital santé. Prendre trois repas par jour à des heures régulières est essentiel : le petit déjeuner, le déjeuner, le dîner complété par un goûter. 

Une désynchronisation entre l’horloge circadienne et le temps réel peut entraîner si elle est répétée des dérèglements du cycle éveil-sommeil et peut engendrer des troubles divers. Le travail posté de nuit (3 × 8) accroît les troubles du sommeil, ce qui peut provoquer des désordres d’origine digestive, de l’hypertension, des états dépressifs... Des accidents dus à la somnolence peuvent augmenter au travail et lors de conduite automobile.

Après une bonne nuit de sommeil, il est important de s’alimenter pour apporter de l’énergie au corps ainsi que de l’hydrater. Le petit déjeuner doit représenter 20 à 25 % des apports en calories de la journée. Le déjeuner quant à lui représente à peu près 30 %. Le reste des besoins se répartit entre le goûter et le dîner. Ce dernier doit être plus léger que le déjeuner.

Les rythmes alimentaires sont très importants. Ils varient de l’enfance à l’adolescence, périodes pour lesquelles il faut s’assurer qu’ils respectent leur rythme adapté et une alimentation structurée. Les fibres alimentaires sont des composés qui ne sont pas digérés au niveau du tube digestif. On distingue des fibres solubles (pectine, gommes...) et les fibres insolubles (cellulose, lignine...).

Un déséquilibre alimentaire peut entrainer l’obésité, un état de dénutrition, une sous-alimentation...