Doté d’un sens de la narration et de l’esthétique, le monteur doit aussi savoir s’organiser pour gérer les rushs.
L’étalonneur veillera ensuite au respect des normes de diffusion, à la cohérence d’un plan à l’autre et au look de l’ensemble.
Le VFX artist/designer des effets spéciaux réalisera incrustations et compositings, le plus souvent en numérique de nos jours.
L’ingénieur son met ses connaissances techniques et son oreille musicale au service des méthodes d’enregistrement, puis du traitement en post-production pour corriger les défauts et créer une ambiance sonore cohérente, secondé par un mixeur (qui assemble les sons avec harmonie), mais aussi un bruiteur et parfois un doubleur.
Une fois le film terminé, les droits d’exploitation sont vendus aux distributeurs, ce qui va conditionner la couverture nationale offerte au film, pour optimiser sa rentabilité. Les exploitants (propriétaires de salles de cinéma) doivent s’adapter à la mutation numérique tout comme les projectionnistes.