Bien que la mort soit établie selon des critères biologiques, elle questionne sur le sens de la vie et est étroitement liée aux croyances culturelles, spirituelles et religieuses.
Depuis 1996, le critère établissant le constat de la mort est l’arrêt définitif de toute activité cérébrale. La loi 2005, dite loi Leonetti, relative aux droits des malades en fin de vie condamne l’acharnement thérapeutique et reste opposée à l’euthanasie, soulevant de nombreux débats d’ordre éthique tels que : comment respecter la volonté du patient en fin de vie ? À quel moment les soins deviennent une « obstination déraisonnable » ?...
Lorsque les actes de soins cessent de traiter le patient, on les appelle soins palliatifs. Ils permettent un meilleur confort et un accompagnement de la personne en fin de vie. Ils répondent aux besoins physiologiques, de sécurité, sociaux, de reconnaissance et d’accomplissement de tout être humain.