La mort biologique est l’arrêt définitif, complet et irréversible de toutes les fonctions de l’organisme. La définition légale en France de la mort est la définition de la mort cérébrale, c'est-à-dire quand il n'y a plus aucune activité cérébrale.
Les étapes du deuil ont été décrites par Elisabeth Kübler-Ross : le choc, le déni, la colère, le marchandage, la dépression et l’acceptation.
En France, la fin de vie des malades incurables est encadrée depuis 2016 par la loi Claeys-Leonetti. Elle interdit l’euthanasie et le suicide assisté. En revanche, elle permet ce qu’on appelle la « sédation profonde et continue » jusqu’à la mort pour les malades en phase terminale et en très grande souffrance quand leur pronostic vital est engagé à court terme. La loi interdit « l’obstination déraisonnable » du corps médical et la « prolongation artificielle de la vie » du patient (articles 1 et 9) y compris lorsque ce dernier est hors d’état d’exprimer sa volonté. Il est également spécifié que le médecin doit « toujours sauvegarder la dignité de son patient, assurer sa qualité de vie et soulager sa souffrance ».
Les malades sont encouragés à exprimer leurs volontés dans des directives anticipées et à nommer une personne de confiance par écrit pour le représenter s’il n’est plus en état de s’exprimer.
Les personnes ont le droit d'accéder à des soins palliatifs.