Pour parvenir à se certifier, un certain nombre de conditions sont nécessaires :
- Un engagement fort de la direction : Élément indispensable à tout lancement de démarche QSE, cet engagement permet d’assurer la coopération de toute l’organisation et de limiter les freins à la conduite du changement.
- Une démarche processus : Nouvelle façon d’appréhender l’organisation de l’entreprise. (On passe d’une classification par Mintzberg à une vision dynamique des échanges interservices => processus)
- L’élaboration d’un système documentaire : Afin que les actions soient tracées et que la qualité puisse s’appuyer sur des éléments tangibles (des faits).
- Un diagnostic : Sans dire si ce que l’on fait est bien ou mal, on s’attache à constater, dans la volonté de s’améliorer. On s’aide d’audit et d’une terminologie des écarts afin d’être factuel.
- Une analyse environnementale et une évaluation des risques : afin de mettre en exergue les aspects les plus significatifs ou impactants.
- Une formalisation des éléments ainsi qu’une planification des actions : grâce à l’exploitation des audits et afin de bâtir des plans d’actions.
- Une démarche de mise en œuvre et un suivi : partie sûrement la plus complexe car la gestion de cette mise en oeuvre repose souvent sur un petit groupe de personnes dans l’entreprise
- Enfin, une évaluation et une analyse : traitement des non-conformités et exploitation de la veille réglementaire. Cette étape permet de faire revenir le système dans des valeurs conformes aux indicateurs choisis.