Le regard du spectateur doit être guidé vers ce qui est important à l’écran : objet, personne ou situation.
La règle des tiers segmente virtuellement l’image en trois (horizontale/verticale), traçant des lignes et des points de jonction forts.
Les mouvements de caméras recomposent le cadrage pour montrer une évolution de la situation.
L’élément qui occupe le plus de place à l’écran est spontanément jugé important (règle de Hitchcock).
Les contrastes attirent l’œil : le studium, l’esthétique générale, et le punctum, ce qui casse le côté trop lisse.
Les motifs récurrents lient inconsciemment dans l’esprit du public des éléments entre eux.
Les couleurs aident à la narration et à la compréhension de l’intrigue, créant une atmosphère (Plutchik) ou indiquant des changements (variations de teinte, saturation, valeur) grâce à différentes combinaisons chromatiques (analogues, complémentaires, etc.).
Enfin, un plan emblématique/de situation résume des éléments clés (tout le film/une séquence).