Approche empirique
Une stimulation plus ou moins spécifique est proposée lorsque les connaissances ou compétences paraissent préservées, mais que le patient a du mal à y accéder, tandis qu’un véritable réapprentissage est entrepris si l’hypothèse d’une perte des représentations et/ou de la fonction est retenue. Exemple : la stimulation cognitive.
Approche béhavioriste
Il s’agit de tenter de modifier certains comportements du patient, ou d’en instaurer de nouveaux, au moyen de techniques d’apprentissage basées sur le conditionnement. Cette application des principes comportementalistes a apporté plus de rigueur et de précision.
Approche cognitiviste
La recherche ayant pour but de comprendre la cognition (dite « fondamentale ») et celle visant à atténuer le plus possible les effets d’un déficit cognitif (dite « clinique ») se sont longtemps ignorées. Dans les années 90, ces 2 perspectives se sont rejointes : les modèles cognitifs et les méthodes élaborées motivent et guident les approches thérapeutiques, et les résultats d’interventions particulières sont utilisés pour tester ces modèles. Exemple : théorie des marqueurs somatiques de Damasio.