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Aldéhydes et cétones

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Aldéhydes et cétones – Partie 1

Les aldéhydes et les cétones comportent un carbonyle (C=O) plan. La polarité et la tautomérie permettent des réactions d’addition ou de substitution. Les C=O sont aussi oxydables et réductibles.

L’électophilie du C du C=O varie selon les substituants.

L’addition nucléophile sur un C=O suit un angle de 107°. Elle est sensible à l’encombrement.

De nombreux nucléophiles s’additionnent. L’acétalisation avec des alcools est catalysée par $\rm H^+$ mais avec les thiols, il faut un acide de Lewis. L’addition d’amines donne une imine qui peut être réduite en amine secondaire ou une ènamine.

Aldéhydes et cétones – Partie 2

Le réarrangement de Beckmann d’une oxime donne un amide.

Les oximes réagissent aussi avec $\rm LiAlH_4$ ou $\rm Ac_2O$.

La réaction de Wolff−Kishner est la désoxygénation du CO en $\rm CH_2$ via une hydrazone qui se décompose par chauffage en milieu basique.

La réaction de Wittig est la formation stéréosélective d’une C=C par addition d’un ylure de phosphore sur un C=O suivi d’une élimination.

Aldéhydes et cétones – Partie 3

La réaction de Horner-Wadworth-Emmons (HWE) forme des C=C (E) en utilisant un phosphonate.

L’addition nucléophile sur les ènones peut se faire en 1,2 (dur) ou 1,4 (mou).

Un lithien s’additionne en 1,2 et un cuprate en 1,4.

La réduction d’un C=O conduit à un alcool ou un $\rm CH_2$.

Aldéhydes et cétones – Partie 4

L’oxydation de C=O donne des acides ou esters.

La forme énol permet la monohalogénation.

Un énolate vient de l’arrachement d’un H acide en $\alpha$ du C=O.

Ils peuvent être alkylés soit sur le C soit sur le O.

L’aldolisation est l’addition d’un énolate ou un énol sur un C=O qui peut être suivie d’une crotonisation. L’aldolisation croisée donne un mélange sauf si l’un des C=O n’est pas énolisable. Lors d’une cyclisation le cycle à 5 (puis 6) est favorisé.

Aldéhydes et cétones – Partie 5

Pour éviter l’autocondensation lors d’une alkylation (aldéhydes), l’ènamine est utilisée comme nucléophile.

La réaction de Michael est l’addition 1,4 d’un énolate sur un C=O conjugué.

L’annélation de Robinson a lieu si le C=O conjugué a 2H en α’ du C=O, une aldolisation intramoléculaire se produit suivi d’une crotonisation.

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