De nombreux classements tentent de quantifier le rayonnement mondial des différentes métropoles et ainsi de les hiérarchiser. Le plus célèbre est celui du groupe de recherche Globalization and World Cities de l’université de Loughborough qui classe les villes en « alpha++ », « alpha+ », « alpha »… en fonction de la densité d’entreprises de conseil, de banques et d’établissements financiers. Celui du magazine Foreign Policy repose plus sur les activités économiques, politiques et culturelles. Celui de la Mori Memorial Fondation enfin privilégie l’accessibilité, la recherche et le développement, la qualité de vie et l’environnement.

Nous pouvons donc retenir six villes globales (New York, Londres, Tokyo, Paris, Hong-Kong et Singapour) qui dominent un archipel métropolitain mondial également composé de nombreuses métropoles secondaires situées essentiellement dans les pays développés. Dans une troisième catégorie, nous pouvons placer les principales métropoles des pays émergents.