Pour produire, il faut combiner des facteurs de productions : ressources naturelles (ex : électricité), facteur travail (ex : salarié), facteur capital (ex : machine), savoir (ex : brevet) et information (ex : étude de marché). On appelle cela la combinaison productive. En fonction des gains de productivité attendus, une entreprise peut substituer le capital au travail (ex : privilégier l’automatisation d’une chaîne de production plutôt qu’embaucher des salariés).

La richesse créée par une entreprise correspond à la valeur ajoutée dont la somme constitue le P.I.B (Produit Intérieur Brut), c’est un indicateur qui permet d’évaluer la richesse d’un pays. La valeur ajoutée (chiffre d’affaires – consommations intermédiaires) permet de rémunérer les salariés, les actionnaires, le paiement des impôts sur la production et l’autofinancement.

Les revenus de l’activité ainsi que ceux issus du patrimoine constituent le revenu primaire des ménages. A partir de ce-dernier, on ôte les impôts, les cotisations sociales et on ajoute les revenus de transfert (ex : allocations familiales) pour obtenir le revenu disponible (sous-entendu pour consommer et épargner).