Conseils pour la rédaction

Un brouillon est la première étape du travail. Il permet un gain de temps appréciable en vue de la rédaction finale.

• Avant le brouillon, il faut cerner le sujet, ses attentes et répondre aux questions : qui ? où ? comment ? pourquoi ? 
• Pour organiser son brouillon, il faut travailler directement sur le sujet : surligner les éléments-clés, flécher, ajouter en marge, organiser ses idées en tableaux (ou carte heuristique), colonnes et tirets, puis écrire un premier jet pour barrer, supprimer, etc.
• Conseils pratiques : numéroter les feuilles, n’écrire qu’au recto, gérer les délais impartis, utiliser des surligneurs, des numéros pour faire apparaître l’organisation, l’ordre et la logique des éléments.
• Un brouillon « propre » n’a sûrement servi à rien !

Nombreuses sont les répétitions qui nuisent à la fluidité du style et à la compréhension lors d'une composition écrite.

Parmi les maladresses les plus courantes, on relève les occurrences relatives à la notion d’écrivain : l'auteur, l'écrivain... Or, pour éviter ces répétitions, il suffit de se référer au genre littéraire dont il est question et ce, lors de la rédaction de la ou des question(s) préalables, du commentaire ou de la dissertation.

Outre son nom, on peut opter pour la qualité de l'auteur selon le ou les textes étudiés. L'auteur d'un roman est un romancier, celui d'une nouvelle est un nouvelliste. De la même façon, on parlera d'un poète face à un poème, d'un dramaturge face à un texte théâtral. L'auteur d'un essai pourra être appelé un essayiste, celui d'une fable un fabuliste, celui d'une biographie un biographe, ou un moraliste, surtout au XVIIe siècle, lorsqu'il s'agit de livrer un texte à caractère moralisateur.

D'autres textes peuvent être aussi proposés. L'auteur d'un article est un journaliste sauf si l'article constitue une critique, dans ce cas il s'agit d'un critique.