1. Amélioration de la qualité de l’air intérieur
Logement, moyens de transport, lieu de travail, école... Nous passons plus de 80 % de notre temps dans des lieux clos, et l’air que nous y respirons n’est pas toujours de bonne qualité.
Outre les apports de l’air extérieur, les sources potentielles de pollution dans les bâtiments sont en effet nombreuses : appareils à combustion, matériaux de construction, produits de décoration (peinture, colles, vernis…), meubles, activité humaine (tabagisme, produits d’entretien, bricolage, cuisine...). À l’intérieur des logements, l'air est bel et bien pollué de manière spécifique par rapport à l’air extérieur par des matières particulaires ou PM (acronyme en anglais de Particulate Matter) en suspension dans l’air (PM10 et PM2.5).
La bonne qualité de l’air à l’intérieur d’un bâtiment a un effet démontré sur la qualité de concentration, le taux d’absentéisme dans les écoles et le bien-être.
2. Les différents types de polluants
Les polluants chimiques : Comme les composés organiques volatiles (COV), issus de matériaux de constructions, de décoration ou de produits d'entretien.
Les polluants biologiques : comme les agents infectieux liées à l'homme, les acariens, les moisissures et les insectes. Le développemennt est favorisé par l'humidité et la chaleur.
Les polluants de l'air extérieur : Tels que les pollens, certaines poussières et particules fines.
Les polluants liés à la présence humaine : Tels que le $\rm CO_2$ (dioxyde de carbone), les particules fines et l'humidité.